paralysie de la musculature de la bouche, de la langue, du voile du palais et du pharynx consécutive à une lésion bilatérale du faisceau géniculé. (Elle est le plus souvent consécutive aux ramollissements cérébraux.)
« Dans ces parages de l'aisance, on voudrait tant que tout fût pour le mieux dans le meilleur des mondes » (Aragon). « Mieux » et « meilleur » sont ici :