Charles Gounod, Faust : Air des bijoux

Charles Gounod, Faust : Air des bijoux

C'est avec Faust, composé en 1859, que Gounod connaît vraiment le succès. Si le livret, par son sentimentalisme, s'écarte de l'œuvre de Goethe, l'ouvrage n'en reste pas moins l'opéra français le plus joué au monde. L'Air des bijoux est chanté au deuxième acte par Marguerite, qui se pare alors des bijoux abandonnés par Faust pour la séduire.

Extrait du disque Parry Music &pro; Zomba production music