Enfance


Autofiction de N. Sarraute (1983).
La narratrice se met en quête des souvenirs des onze premières années de sa vie (jusqu'à son entrée en sixième), tout en sortant des règles habituelles au genre autobiographique. Ainsi, elle fait dialoguer deux « voix » : l'une qui conduit le récit, l'autre qui formule les prises de conscience résultant du travail de mémoire auquel elle se livre afin de « faire surgir quelques moments, quelques mouvements qui [lui] semblent être intacts ».