Mercè Rodoreda

Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire mondial des littératures ».

Femme de lettres espagnole d'expression catalane (Barcelone 1909 – Romanyà de la Selva 1983).

Exilée en France puis à Genève, elle revint à la littérature catalane avec un recueil de nouvelles (Vint-i-dos contes, 1958) et un roman (La plaça del Diamant, 1962), vision de la guerre civile par une femme de classe ouvrière. Ses recueils de nouvelles (La meva Cristina, 1967) et ses romans (Quanta, quanta guerra, 1980) évoquent la mélancolie du temps qui passe, des jeunesses enfuies.