Ángel María de Lera

Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire mondial des littératures ».

Journaliste et écrivain espagnol (Baides 1912 – Madrid 1984).

Romancier, il décrit la vie des bidonvilles de Madrid (les Oubliés, 1957), l'existence lamentable des apprentis toreros (les Clairons de la peur, 1958) ou la nostalgie des travailleurs espagnols émigrés (Nous avons perdu le soleil, 1963). S'il évoque la guerre civile (Derniers Étendards, 1967), c'est aussi pour jeter un regard sur son enfance.