Victor ou les Enfants au pouvoir

Pièce en 3 actes de R. Vitrac (1928).

Le jour de ses 9 ans, Victor sème la perturbation dans sa famille par ses propos provocants à l'égard de la bourgeoisie, de la religion et de l'armée, et par la quête d'une philosophie mystérieuse, l'Uniquat. En fin de journée, il s'éteint en disant : « Je meurs de la mort. C'est le dernier ressort de l'Uniquat. »

Jeu de massacre mélancolique, ce « drame bourgeois » ouvert sur le rêve est le modèle du théâtre surréaliste.