Groupe B.
1. Stade Marseillais UC 40 pts (309 : 157) ; 2. Paris UC 38 pts (253 : 183) ; 3. ASU Lyon 30 pts (247 : 237) ; 4. AS Cheminots de l'Ouest Paris 28 pts (220 : 250) ; 5. USM Malakoff 25 pts (234 : 237) ; 6. HBC Villefranche-sur-Saône 24 pts (220 : 223) ; 7. Thonon AC 24 pts (214 : 238) ; 8. ASCEM Lyon 15 pts (165 : 337).

Groupe C.
1. ASP Police 42 pts (355 : 202) ; 2. Bordeaux EC 36 pts (252 : 230) ; 3. ASPTT Evreux 31 pts (267 : 225) ; 4. Girondins 26 pts (210 : 236) ; 5. USM Bondy 26 pts (219 : 273) ; 6. CA Fontenay-sous-Bois 24 pts (220 : 235) ; 7. Nantes EC 23 pts (213 : 250) ; 8. CA Béglais 16 pts (192 : 277).

Groupe D.
1. Stella Sports 39 pts (305 : 215) ; 2. US Ivry 33 pts (331 : 228) ; 3. C. Billy-Montigny 31 pts (268 : 239) ; 4. ASPTT Metz 28 pts (255 : 287) ; 5. ES Colombes 27 pts (218 : 217) ; 6. USB Longwy 26 pts (254 : 281) ; 7. Lille UC 25 pts (265 : 248) ; 8. SS Voltaire 15 pts (203 : 374).

Coupe d'Europe

Quarts de finale : Steaua Bucarest b. VFL Gummersbach 15-9 et 14-13 ; Dukla Prague b. Fredensborgoslo 21-19 et 24-14 ; SC Dynamo Berlin-Est b. UKS1 Helsinki 29-17 et 30-22 ; Partizan Bjelovar b. Granollers 36-13 et 24-16.

Demi-finales : Steaua Bucarest b. SC Dynamo Berlin-Est 15-16 et 16-12 ; Dukla Prague b. Partizan Bjelovar 25-16 et 9-17.

Finale : Steaua Bucarest b. Dukla Prague 13-11.

Judo

Le Japon reste le maître incontesté

Les Japonais sont toujours les maîtres en judo, d'autant que la retraite du géant hollandais Anton Geesink est maintenant officielle.

Il faut souligner que championnats du monde et jeux Olympiques sont disputés simplement en matches individuels et sans matches nuls. Aussi la victoire par équipes de la France aux championnats d'Europe 1968 ne doit pas inciter les officiels à relâcher leurs efforts. À remarquer : la majorité des vainqueurs à Lausanne ont effectué des stages au Japon.

Championnat de France
toutes catégories
(21 avril, à Paris)

Coche (Île-de-France) bat Tieri (Île-de-France).

Championnats du monde
(Salt Lake City, 9 août 1967)

Légers : Sigioka (J) ; mi-moyens : Minstoya (J) ; moyens : Maruki (J) ; mi-lourds : N. Sato (J) ; lourds : Ruska (H) ; toutes catégories : Matsunaga (J).

Classement par nations : 1. Japon ; 2. Pays-Bas ; 3. Allemagne de l'Ouest.

Championnats d'Europe
(17 mai, à Lausanne)

Par équipes

Finale : France (Guichard, Clément, Broudani vainqueurs) b. l'Allemagne de l'Ouest (Feist, Coche) 3-2.

Individuels

Légers : 1. Martkopichvili (URSS) ; 2. Susline (URSS).

Mi-moyens : 1. Magaltaze (URSS) ; 2. Natelaschvili (URSS).

Moyens : 1. Hoffmann (RFA) ; 2. Clément (F).

Mi-lourds : 1. Hermann (RFA) ; 2. Howiller (RDA).

Lourds : 1. Glahn (RFA) ; 2. Kibrosatchvili (URSS).

Toutes catégories : 1. Saounine (URSS) ; 2. Krajnovic (YU).

Lutte

L'URSS demeure en tête

Depuis plusieurs années, l'URSS dominait manifestement parmi la centaine de nations où la lutte est pratiquée en compétition. Les diverses grandes épreuves et championnats qui ont lieu depuis l'automne 1967 ont confirmé la supériorité des Soviétiques. Toutefois, leur marge sur leurs suivants immédiats est beaucoup plus réduite. C'est ainsi qu'aux Championnats d'Europe de libre 1967 ils furent tenus en échec par les Turcs, mais que, dans l'épreuve mondiale, tant en libre qu'en gréco, ils restent toujours les meilleurs.

Les Français ont vu, en novembre 1968, leurs longs efforts couronnés par la victoire, à New Delhi, du 78 kg Daniel Robin (libre), premier Français champion du monde. Il faut espérer que d'autres jeunes suivront son exemple.

Championnats du monde de lutte libre
(New Delhi, 12 novembre 1967)

52 kg : Nakata (J) ; 57 kg : Aliev (SU) ; 63 kg : Kanedo (J) ; 78 kg : Robin (F) ; 87 kg : Gurevitch (SU) ; 97 kg : Ayik (TR) ; lourds : Medved (SU).

Classement par nations : 1. URSS ; 2. Japon ; 3. Iran.

Championnats du monde de gréco-romaine
(Bucarest, 2 septembre 1967)

52 kg : Bakouline (SU) ; 57 kg : Veclu (R) ; 63 kg : Rurova (SU) ; 70 kg : Tapio (SF) ; 78 kg : Igoumenov (SU) ; 87 kg : Sillai (H) ; 97 kg : Iskovenko (SU) ; lourds : Kozma (H).